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[flash info n°2] I'm okay. We're okay.

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MessageSujet: [flash info n°2] I'm okay. We're okay.    [flash info n°2] I'm okay. We're okay.  EmptyMar 16 Avr - 23:27

Tu étais de mauvaise humeur. Tu avais du faire pipi au moins trois fois par heure. Ce bébé te gonflait sévère. Il te laissait pas tranquille. Tu avais décidé d'aller manger dans le nouveau restaurant tenu par un homme décrié par les habitants. Tu t'en foutais pas mal, tu avais faim. Tu avais prévenu Gabriel et tu t'étais empressée de t'y rendre. C'était bon. Même très bon en fait. Tu te regalais. Mais bien sur, tu avais encore envie de faire pipi. Tu te levais aussi sec et te rendais au toilettes, jurant que tu avais hâte qu'il débarque. Même si tu savais que ce serait des complications différentes.

Arrivé aux toilettes, ce fut une autre paire de manches pour t'asseoir. Tu jurais de plus belle. Tu avais fini quand tu entendis une énorme explosion. Tu poussai la porte pour découvrir un charnier. Heureusement il y avait moins de dégâts que tu l'avais imaginé. Tu avançais vers la sortie, enjambant les morceaux et les gens. Tu sortais enfin et pu respirer. Etant une énorme vache, on vient tout de suite te chercher pour t'ausculter malgré tes jurons, hurlant que tu allais très bien. Tu te demandais si Gabriel était sur les lieux. Tu demandais et on te dit que les premiers secours étaient là. Tu ne voyais Gabriel nulle part. Il y avait des blessés partout.

Quand ils te laissèrent tranquillement, tu fis le tour. C'est là que tu le vis, au sol, en mauvais état n tu t'approchais immédiatement. Tu avais beau le rudoyer, tu l'appréciais. Puis il était le père du bébé et tu n'allais pas te le trimballer seule. Tu réussis à te mettre à sa hauteur, jurais encore et t'asseyais. On lui avait mit des bandages temporaires. Sa jambe semblait mal en point et son bras. Seul des égratignures et des bleus semblaient avoir fait des traces. Tu pris sa main, lui faisant comprendre que tu étais là.

Je sais qu'être papa n'était pas dans tes plans mais ya d'autres moyens de se défiler. Il s’est passé quoi ? T'es blessé où ?

Sans te rendre compte, tu serrais sa main. Pour la première fois tu te rendais compte que c'était pas juste le fait d'être parent isolé qui te faisait peur. L'idée de ne plus l'avoir avec toi était inconcevable. Et ça, tu n'aimais pas. Tu en voulais plus de complication. Tu voulais un ami. Rien de plus. Mais en était tu capable ?

Il va bien.

Sans attendre qu'il s'inquiète, tu posais sa main sur ton bide.

Et moi aussi. Mais on s'en fout. T'imagines, sauvée par mon envie de pisser.

Tu blaguais mais tu n'en menais pas large. Tu aurais pu mal finir et cette pensée était flippante.
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MessageSujet: Re: [flash info n°2] I'm okay. We're okay.    [flash info n°2] I'm okay. We're okay.  EmptyLun 22 Avr - 11:23

J'avais eu cours aujourd'hui, mais tout c'était relativement bien passé. Certains petits comiques avaient trouvés drôle de rigoler sur un sujet que je leur avais donné. Ils se sont marrés sur le nom d'un grand nom. Je leur avais demandé de se calmer. Le calme avait du mal à revenir, j'ai donc décidé à mon tour de faire une blague. Je leur ai demandé de ranger leur cahier, de sortir une feuille, un stylo et j'ai dicté deux ou trois questions. Quoi? Qui a dit que je ne pouvais pas m'amuser à mon tour. Je voulais leur enseigner des choses intéressantes. Je ne comprends pas pourquoi les étudiants détestent tant l'histoire. Je sais que je pénalise de bons élèves, mais bon. J'ai eu la paix pendant un petit moment, j'entendais certains gémissaient, ça me fit sourire.

L'après-midi je n'avais eu qu'une heure de cours. Elle s'était très bien passé. Après mon heure je suis allé dans la salle des professeurs pour corriger les fameux devoirs du matin. Aidez-moi.. C'était un désastre pour certains… Comment peut-on dire autant de connerie dans une question. Je perdais limite espoir parfois.. Heureusement que j'aimais mon métier. Après avoir passé du temps à corriger les copies je suis rentré chez moi. Ma femme n'était pas là, tant mieux qu'un sens. Je ne voulais pas la croiser, ni la voir. Je voulais être seul. J'ai pris une douche pour me détendre un peu et penser à autre chose. La soirée est arrivée vite. J'ai reçu un message de Mag qui m'a fait sourire. Elle m'avait dit qu'elle voulait aller manger dans un restaurant en ville. C'était toujours un plaisir de passer du temps avec elle.

J'ai donc enfilé un jean, un t-shirt et un sweatshirt gris, j'ai mis mes chaussures de ville. Il ne faisait pas mauvais dehors, les gens parlaient, certains riaient sur les terrasses des pubs ou cafés. J'avais un grand sourire sur mon visage de la retrouve. J'étais pratiquement à la porte du dit restaurant quand il eut une énorme explosion. Je me suis fait projeter par terre. Je n'ai absolument rien compris de ce qui ce passait, je sais juste que j'avais mal, très mal. Je gémis de douleur d'ailleurs. Putain que ça faisait mal. J'avais mal à la jambe, au bras, j'avais mal partout.. Putain c'était quoi ce bordel. Les secours étaient vite venus à ma rencontre m'aider. Ils m'avaient examiné et ils me mettaient des bandages là où je saignais. Ils bougeaient mon bras et j'avais mal. Il y avait quelqu'un à côté de moi qui me parlait, mais je ne comprenais pas trop ce qu'elle disait. La douleur était vraiment insupportable. J'entendais juste une personne affolée qui me parlé de papa, qui me demandait où j'étais blessé.

- Hein ?

Dis-je dans un gémissement. J'avais mal.

- Bras, jambe. Arghh. J'ai mal partout.

Dis-je à la personne. Mais que ce que je foutais là sérieux… Pourquoi je n'étais pas tranquille chez moi à regarder je ne sais quoi.. Je sens la personne me prendre ma main et la serrer. Je fis un sourire. Quand elle me dit qu'il allait bien je reconnu Maggie. Je me suis tourné vers elle.

- Mag…

J'étais content de la voir. Elle avait l'air bien.

- Qu'est-ce que tu fais là ?

J'avais totalement perdu le fil du temps et je ne comprenais plus rien. Je n'avais pas capté ce qu'elle disait trop inquiet de savoir comment elle n'allait elle. Puis elle posa ma main sur son ventre. Inconsciemment je l'ai caressé et sourit en même temps. Je rigole un peu avant de grimacé de douleur.

- J'aurais dû m'arrêter pisser aussi. Je n'aurais pas eu tous ses problèmes.

Dis-je en plaisant.

- Je suis content que tu sois bien.

Dis-je en la regardant.

- Est-ce que c'est si horrible que ça ?

Je ne sais pas si je parlais de mes blessures ou alors de notre environnement. Les ambulanciers étaient encore en train de m'examiner.
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MessageSujet: Re: [flash info n°2] I'm okay. We're okay.    [flash info n°2] I'm okay. We're okay.  EmptyLun 22 Avr - 12:45

Il était mal en point et toi, tu n'avais rien d tout. Tu n'étais pas rassurée d eke voir ainsi et c'était pire qu'il soit complètement à la ramasse. La douleur devait être importante. Au mot j'ai mal, tu grimaçais. Non c'était officiel, tu tenais à lui. Un jour faudrait que tu te lances. Tu n'étais pas si prête que ça. Peut être parce que tu aurais aimé que ce soit dans d'autres circonstances. Qu'il soit séparé par exemple. Tu n'aimais pas l'idée de faire ça dans le dos de sa femme en fait. Pas du tout même. Il t'avait enfin reconnue. Il prononça ton prénom. Il sourit.

Tu te souviens l'explosion Gab ? J'étais à l'intérieur. Toi à l'extérieur je pense. Mais tout ira bien ok ?

A qui tu essayais de faire gober ça exactement ? Sûrement plus à toi. Parce que tu ne te voyais pas lui dire la vérité. Que ça allait être la merde clairement. Il plaisantait sur le fait qu'elle faire pipi aurait été sympa. Il caresse ton ventre doucement et tu aimes ça. Il dit qu'il est content que tu sois là. Petite lueur d'espoir que tu ne sois pas la seule à t'attacher à lui plus que pour un ami. Il te demande tout à coup si c’est si terrible que ça. Tu ignores s'il parle du chaos ambiant ou de ses blessures. Tu grimaces de nouveau.

Ya pas mal de blessé. Je crois qu'il y a eu des morts aussi mais pas beaucoup. Et si tu parles de toi, disons que ça risque d'être compliqué pendant quelques temps. Mais je serais là. Ok ? Enfin si ta femme me laisse faire.

Tu caresse son bras valide. Pose ta petite tête contre son épaule. Tu redoutes autant ce qu'on va te dire pour les dégâts subis que lorsque tu devras affronter Lena. Même si vous n'avez merdé qu'une fois, tu sais qu'à cause du bébé, ce sera la fois de trop.

Gigotes pas. Tu vas te faire mal.

Que tu ponctues d'une autre caresse puis tu reprends sa main. Tu déposes un baiser sur sa joue. Pour le rassurer. Ou pour te rassurer toi.
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MessageSujet: Re: [flash info n°2] I'm okay. We're okay.    [flash info n°2] I'm okay. We're okay.  EmptyMar 7 Mai - 14:42


J’avais mal, mais mal. Je crois que je n’avais jamais ressenti de genre de douleur. C’était comme si un train m’était passé dessus ou je ne sais quoi. En tout cas j’avais vraiment mal. C’était bien ma veine. Je voulais juste passer un peu de temps avec Maggie et voilà ce qui m’arrive. Si j’avais su je serais resté chez moi tranquille... Enfin bon je n’avais pas vraiment l’esprit très clair a cause du choc et aussi à cause de la douleur. Heureusement pour moi les secours sont quand même arrivés vite et en plus il y avait une personne à côté de moi. Je n’avais pas fait attention à qui s’était. J’avais tellement mal. C’est qu’apres quelques instants que je me suis rendu compte que c’était Mag’. J’étais tellement content de la voir et de voir qu’elle allait bien. Elle me demanda si je me souvenais de l’explosion, qu’elle elle était à l’intérieur et elle me dit aussi que tout ira bien. Je lui souris tendrement comme hypnotisé par ses paroles.

- Je le souviens juste de marcher près du restaurant quand tout un coup il y a eu un gros boum et puis plus rien. J’ai entendu des cris, des gens pleurer, crier... Je ne me souviens de rien d’autre... Ah si de la douleur...

Dis-je en grimaçant.

- Oh oui je sais que tout ira bien, tu ne peux pas te débarrasser de moi comme ça.

Dis-je en rigolant un peu. Je voulais juste être chez moi tranquille au chaud et non la.. J’ai quand même réussi à plaisanter. Je ne sais pas trop ce qui m’a pris, j’ai caressé son ventre rond et je lui ai dit que j’étais contente qu’elle soit là. L’avoir a mes côtés était très réconfortant. Après un petit moment je lui ai demandé si c’était terrible. A vrai dire je ne savais pas si je parlais de mes blessures ou de des gens. Elle me dit qu’il y avait pas mal de blessés, ce à quoi je grimace. Ça ne devait pas être beau à voir. Et elle me dit que pour moi ça risque d’être compliqué pendant un moment et qu’elle sera là aussi si ma femme est d’accord.

- Elle sera d’accord ne t’inquiète pas et puis même si elle ne l’ai pas tu peux être là...

Dis-je. Après tout l’avis de ma femme je m’en fou un peu en ce moment. J’ai encore caresser son ventre sa me calmait.

- Quand tu dis que ça va être compliqué pendant quelques temps, ça veut dire quoi ? Parce qu’il est hors de question que je reste au lit sans bouger ou que je ne bouge pas. Je te préviens tout de suite.

Dis-je fermement. Je suis pas le genre de gars à rester assis à ne rien faire. J’aime bouger, courir, marcher, sortir, me promener. Il était hors de question que je reste assis. Je n’allais pas être commode si c’était le cas. Je plains vraiment les personnes qui seront là avec moi.

- Ca va m’énerve...

Dis-je de mauvaise humeur. Les ambulanciers étaient oubliés en train de regarder mes blessures et de s’en occuper. J’ai senti une tête sur mon épaule. Inconsciemment j’ai posé ma tête sur la tête à Mag et j’ai soupiré. Quand elle me dit de ne pas trop gigoter parce que j’allais me faire mal j’ai pousser un soupir agacé quand elle m’a embrassé sur la joue.

- Comment tu veux que j’arrête de gigoter? J’ai mal ! Je peux pas faire autrement... J’aimerais bien d’y voir tiens...

Dis-je de mauvaise humeur. Oui je pouvais être un con parfois. Bien évidemment que je m’en prenais à elle parce qu’elle était là et que j’étais énervé, mais je voulais pas lui faire de mal.
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MessageSujet: Re: [flash info n°2] I'm okay. We're okay.    [flash info n°2] I'm okay. We're okay.  EmptyMer 8 Mai - 22:54


Un boum. Tu le regardes avec un sourcil haussé à ce moment là puis les yeux en l’air. On dirait un gamin qui raconte. Enfin, tu es habitué avec celui là. T’as presque envie de rire si ce n’était ni le moment ni ce que tu ressens à l’instant. Il se met à grimacer, et tu n’aimes pas, tu grimaces aussi à ton tour tout en gardant sa main. Il confirmait qu’il comptait être là dans ta vie et qu’il serait dur à virer de là. Le sourire revint, mais le lever en l’air de tes deux yeux aussi. ce type ne perdait rien pour attendre. Ca aurait pu devenir niais et mignon, mais vous ne étiez pas longtemps et là, il allait passer du romantique au crétin en très peu de temps. Tu n’étais pas sûre qu’il ait raison pour sa femme. Tu doutais qu’elle te laisse faire mais bon, il la connaissait surement mieux que toi. Voilà qu’il demandait ce que voulait dire tes propos. C’était pas dur à comprendre pourtant Vu son état, il allait pas courir de suite un marathon ou même une petite foulée d’ailleurs ! Il le voyait autrement a priori, lui.

Oh mais on va se calmer petit bonhomme. Vu l’état de ta jambe, tu vas pas crapahuter de si peu. Alors si tu vas faire ce que le médecin te dira quand tu l’auras vu et j’y veillerais. Sauf si tu veux aggraver ton état ?

T’étais pas sûre que ça ne change quoi que ce soit en fait, tes remontrances, mais il fallait qu’il se mette dans le crâne qu’il allait sûrement avoir une convalescence et moins il la respectait plus elle serait longue. Il commençait à s’énerver tout seul et à déjà prédire que cette solution ne lui plairait pas.

Ecoute, tente, vas y mets toi debout, ensuite tu me diras si c’est pas mieux d’écouter les médecins. Tu te souviens quand tu me gonfles avec le bébé, ba dis toi que je peux faire plus de trucs que toi mais quand on sera à la fin je vais devoir me calmer aussi. Donc ça suffit monsieur je rale !

Voilà qu’il ajoutait qu’il devait gigoter à cause de la douleur pendant qu’on l’auscultait. C’était une blague c’est ça ? Il était stupide et tu n‘avais pas remarqué ? Tu finis par lever les yeux et les ambulancier le firent entrer dans le camion et démarrèrent ensuite vers l’hôpital. Tu savais bien qu’il était pas sorti d’affaires vu la tronche des types. Vous atiez arrivé assez vite tout de même, et il avait été pris en charge de suite. Tu avais du attendre qu’il se fasse opérer. Bien sur, il y avait eu l’épisode “Lena” et désormais, tu devais aller le voir, affronter les blessures et surtout lui annoncer que sa femme savait tout. On t’annonça enfin qu’il était de retour et tu te rendis dans sa chambre, t’attendant au pire. faut dire que tu ne savais pas précisément ce qu’il avait. Tu entrais enfin et n’aimait pas ce que tu voyais. Un plâtre recouvrait sa jambe surélevée et son bras était en écharpe, lui aussi entravé. Il allait te faire la misère, il allait râler comme un âne. Vous étiez bon pour des engueulades à répétitions et tout cela, avec l’histoire “Lena”.

Hey toi.

Que tu dis en te glissant à ses côtés sur le lit, li prenant sa main et la serrant. Tu te sentais toute petite, même si là, tu étais loin de prendre peu de place.

La bonne nouvelle c’est que le bébé va bien. La mauvaise, ta chère femme a comprit qu’il était de toi… Elle avait l’air de croire qu’on couchait régulièrement… Comment tu te sens ?

Oui tu passais du coq à l’âne mais tu te doutais que de toute façon entre les cachets, la douleur, et la contrariété de devoir rester immobilisé, c’était de toute façon pas un sujet qu’il allait oublier et parler de commander une pizza. Tu préférais autant qu’il avance le sujet lui même. Tu restais collé à lui comme une moule à son rocher et jouais avec ses doigts.

Ils ont marqué sur ton dossier que tu vas en avoir pour quelques temps.

Que tu dis, histoire de penser à autre chose que le bordel que vous aviez créé en couchant ensemble et en créant un bout de chou. Toi cere, c’était plus la partie gérer un gamin qui t'effrayait.
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